Vincent Noé m'a contacté hier soir pour me faire part de cette article ou le maire de Marquillies est aussi dans la même situation que notre commune d'Halluin. Il semblerait que l'idée de notre maire Monsieur Jean-Luc Deroo à fait des petits..


Je vous laisse lire l'article ci-dessous :


Dans les Weppes, la fracture numérique n'est pas un vain mot. 100 % des foyers sont éligibles à la connexion Internet à très haut débit - plus de 2 mégabits par seconde - à La Bassée, mais quasiment aucun à Escobecques ou Herlies. Cette situation lasse les habitants : à Santes, où seuls 13 % des foyers sont éligibles au très haut débit, Vincent Noé a fait circuler une pétition qui a recueilli 850 signatures.


Le maire de Marquillies, Éric Bocquet, a décidé de s'attaquer de front au problème. Il sollicite une rencontre entre la direction régionale de France Télécom et les maires du secteur pour y remédier. « On a une forte demande de la part de nos administrés, explique Marie-Françoise Auger, maire d'Herlies. Au-delà des loisirs, ceux qui travaillent chez eux sont très gênés. Je connais un architecte de réseau informatique qui est sans cesse déconnecté. Ça ne fait pas sérieux ! Les élus des Weppes bougent et on compte aussi sur LMCU. On doit s'unir pour faire avancer les choses. »


Solidarité


Les maires des communes « chanceuses », correctement couvertes, sont eux aussi favorables à cette réunion, « par solidarité ». « On est tous dans le même bateau, estime le maire de La Bassée, Philippe Waymel. Le très haut débit n'est pas une urgence absolue mais la demande de la population est réelle : c'est passé dans les moeurs. » « On n'est pas concernés à Hallennes-lez-Haubourdin, mais on doit vivre à l'échelle du territoire », renchérit André Pau.


PB

Marie-Françoise Auger et Philippe Barret soutiennent l'initiative d'Éric Bocquet en faveur du très haut débit dans les Weppes.


La situation n'est pas nouvelle. Daniel Herbaut, à Fournes-en-Weppes, sollicite France Télécom depuis cinq ans. « S'il y a un problème d'accessibilité, qu'on nous l'explique. On voudrait savoir ce qu'on peut faire, quand, comment et à quel prix. » « L'argument de France Télécom, c'est qu'ils ne peuvent rien faire parce qu'on est en bout de réseau. Ce n'est pas acceptable : le réseau téléphonique n'est pas de notre ressort », s'emporte Marie-Françoise Auger.


Le maire d'Escobecques, Alain Cambien, est du même avis : « Je m'étais renseigné sur des solutions privées, comme le satellite ou un émetteur sur le clocher de l'église. Mais ça reviendrait à 1 000 E par foyer. France Télécom dit qu'ils ne peuvent pas nous desservir car ça créerait une situation de monopole. Mais il n'y a pas de raison qu'on se substitue à eux. » À Santes, Philippe Barret a, lui aussi, envisagé le noeud de raccordement des abonnés (NRA). ''« Il en faudrait quatre, soit un investissement de 500 000 E. ça n'incombe pas aux communes : nous ne percevons pas l'abonnement. »''


À en croire Vincent Noé, France Télécom tient le même raisonnement : « Le responsable pour les collectivités locales m'a dit qu'ils avaient été privatisés trop tôt : l'amélioration des réseaux était en cours. Maintenant, France Télécom ne veut pas financer tout seul un nouveau réseau qui profitera à tous les opérateurs. » Quant à Philippe Barret, il appelle ses homologues à « ne pas se précipiter. Il ne faut pas se tromper de technologie. Le NRA sera bientôt obsolète. En revanche, France Télécom investit dans la fibre optique en métropole lilloise. Les zones périurbaines devraient suivre, en 2011-2012 j'espère.


J'adhère à la démarche d'Éric Bocquet mais on a déjà posé ces questions à France Télécom et les réponses devraient être les mêmes. »


NDLR par Pierre Mickael M. : A en croire les dires de la Voix du Nord, la situation est quasi-identique dans toutes les villes des weppes ou de la vallée de la lys.. Il y a internet et internet mais FT dépasse les bornes... La situation ne peut plus durée d'ou la réunion proposée par Monsieur le Maire (Lien). FT est toujours dans la privatisation d'ou l'article très bien expliqué ici : FT, l?exemple à ne pas suivre




Texte ci-dessus tiré de la capture du journal et qui est à votre disposition pour la lecture du document, en totalité ou partiellement, ne peut être utilisé, ni diffusé à des fins commerciales. Vous n'avez pas le droit d'utiliser ces documents à des fins commerciales. Images et textes appartenant à R.M, rédactrice à la voix du nord de lambersart et à la Société Anonyme de droit français LA VOIX DU NORD immatriculée au RCS Lille sous le numéro 457 507 267 et dont le siège social se situe 8 Place du Général de Gaulle, 59000 Lille, téléphone : 03.20.78.40.40, adresse mail : contact@lavoixdunord.fr